Dans les forêts de Sibérie
Paolo Cognetti
08/2017 – Stock
« L’été efface les souvenirs de la même façon qu’il fait fondre la neige mais le glacier renferme la neige des hivers lointains, c’est un souvenir d’hiver qui refuse qu’on l’oublie. »
C’est un énorme coup de cœur. J’avais aimé « le garçon sauvage », j’ai adoré « les huit montagnes ».
Ce livre est très agréable à lire de la première à la dernière ligne. J’ai marché et respiré avec les personnages, dans les torrents, dans la forêt, sur les glaciers. J’ai participé avec eux à la remise en état de leur baïta.
« Il n’y a rien de mieux que la montagne pour se souvenir ».
Jean Claude Bringuier
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