Cumulonimbus
Valérie Perrin
04/2019 – Le livre de Poche
Mon premier réflexe a été de faire une comparaison avec Amélie Poulain. Ce côté décalé, cette vie peu commune qui nous était dévoilée petit à petit. Et puis la vie de Violette se dévoile, gonfle, prend de l’ampleur, de la consistance. Nous nous retrouvons spectateurs, témoins des fêlures dans la vie de Violette.
Et c’est beau et triste à la fois.
Un joli texte, dans la lignée de « Tout le bleu du ciel » (Mélissa Da Costa).
Laura
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